dimanche 20 décembre 2020

vide maison Bruxelles

Société de vide maison à Bruxelles

Il peut être tentant de vouloir réaliser soi-même le désencombrement d’une habitation. Cependant, ce travail est long, fastidieux, et peut se révéler plus coûteux qu’une prestation de vide-greniers. En effet, notre entreprise de vide maison pourra vous permettre de gagner de l’argent de différentes façons.

Grâce à notre expertise, nos professionnels pourront repérer des objets de valeur insoupçonnés et vous en proposer un rachat à un bon prix. Si vous possédez beaucoup d’effets personnels intéressants, la prestation pourra même être gratuite.

Le service rapide de vide maison Bruxelles vous permettra d’accélérer la vente de votre bien immobilier sans qu’il soit déprécié ou que vous ne deviez continuer à l’entretenir. Or, cela peut être le cas si vous vous chargez vous-même de le vider et que vous avez un planning chargé. Vous éviterez les allers-retours au parc à conteneurs ou la location coûteuse d’une benne à ordures. N’hésitez donc pas à demander des devis.

Notre société de Débarras  de maison à Bruxelles, travaille sur les grands chantiers de vidage sur Bruxelles et sur le territoire Belge.

Nous réalisons  : Vide cave, vide grenier, vide garage , il faut savoir que la majorité de nos services de débarras est gratuit. Surtout lorsque il y a des meubles de valeur ou des antiquités.

Nous effectuons des services de Débarras dans toutes les régions de la Belgique.

Brabant wallon, Hainaut, Liège, Luxembourg, Namur, Flandre, Brabant flamand (Vlaams -Brabant), Flandre-Occidentale (West-Vlaanderen) , Flandre-Occidentale (West-Vlaanderen) , Limbourg (Limburg) 

Vider votre maison avant d’effectuez la vente de votre bien immobilier ; ou envie de changer le décor de votre appartement, et la première étape à effectuer avant tout.



pour plus d'info 

visiter notre site web :     http://videmaison-bruxelles.com/

mercredi 15 mars 2017

La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d'infirmité. Cette définition est inscrite au préambule1 de 1946 à la Constitution de l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

 Cette définition de l'OMS n'a pas été modifiée depuis 1946. Elle implique que tous les besoins fondamentaux de la personne soient satisfaits, qu'ils soient affectifs, sanitaires, nutritionnels, sociaux ou culturels et du stade de l'embryon (voire des gamètes) à celui de la personne âgée.

Elle se présente donc plutôt comme un objectif, que certains jugeront utopique puisqu'elle classe, selon le pays étudié, de 70 à 99 % des gens comme n'étant pas en bonne santé ou malade .

Selon René Dubos, l'« État physique et mental relativement exempt de gênes et de souffrances qui permet à l'individu de fonctionner aussi longtemps que possible dans le milieu où le hasard ou le choix l'ont placé », qui présente la santé comme la convergence des notions d'autonomie et de bien-être.


La santé est une notion relative, parfois non présentée comme corollaire de l'absence de maladie : des personnes porteuses d'affections diverses sont parfois jugées "en bonne santé" si leur maladie est contrôlée par un traitement. Dès le milieu du xxe siècle, des spécialistes du diabète ont ainsi parlé de « santé insulinienne ». Aujourd'hui, cet état de fait est même majoritaire dans les pays développés : il devient exceptionnel à partir d'un certain âge de ne pas avoir par exemple un trouble de la réfraction oculaire ou des problèmes d'hypertension. A contrario certaines maladies peuvent être longtemps asymptomatiques, ce qui fait que des personnes qui se sentent en bonne santé peuvent ne pas l'être réellement. « État de santé ressenti »: c'est l'un des indicateurs d'état de santé. Il est publié tous les deux ans depuis 2002, pour les pays de l'OCDE. Après une tendance à la hausse de 2002 à 2008, il a chuté de plusieurs points en 2010 « Quelles que soient les tranches d’âge, le pourcentage de femmes et d’hommes s’estimant en bonne ou très bonne santé baisse en 2010. Et lorsque l’on considère l’ensemble des sexes, il en est de même pour le quintile de revenu le plus élevé »2. En 2008, 74,9% des hommes se jugeaient en bonne ou très bonne santé, contre 70,6 % en 2010. Pour les femmes ce taux est passé de 70,1 % à 66,5 %2.

La santé mentale

La santé mentale peut être considérée comme un facteur très important de la santé physique pour les effets qu'elle produit sur les fonctions corporelles. Ce type de santé concerne le bien-être émotionnel et cognitif ou une absence de trouble mental3. L'Organisation mondiale de la santé (OMS) définit la santé mentale en tant qu'« état de bien être dans lequel l'individu réalise ses propres capacités, peut faire face aux tensions ordinaires de la vie, et est capable de contribuer à sa communauté ». Il n'existe aucune définition officielle de la santé mentale. Il existe différents types de problèmes sur la santé mentale, dont certains sont communs, comme la dépression et les troubles de l'anxiété, et d'autres non-communs, comme la schizophrénie ou le trouble bipolaire.

Hygiène 

L'hygiène est l'ensemble des comportements concourant à maintenir les individus en bonne santé. Ils demandent de pouvoir notamment faire la part entre les bons microbes et ceux qui sont pathogènes ou peuvent le devenir dans certaines circonstances ; circonstances que l'hygiène cherche à rendre moins probables, moins fréquentes ou supprimées. Après une phase hygiéniste dont l'efficacité de court terme est indiscutable, sont apparus une augmentation des allergies, des maladies auto-immunes, des antibiorésistances et des maladies nosocomiales jugées préoccupantes.

La recherche de justes équilibres entre exposition au risque et solutions médicales en cours est rendue difficile dans un contexte d'exposition accrue à des cocktails de polluants complexes (pesticides en particulier) et perturbateurs hormonaux, de modifications sociétales et climatiques planétaires (cf. maladies émergentes, risque pandémique, zoonoses, risque de bioterrorisme..), La lutte contre les infections nosocomiales à l'hôpital, ou contre les toxi-infections alimentaires par exemple, est née après la découverte de l'asepsie sous l'influence par exemple de Ignàc Semmelweiss ou Louis Pasteur. Les comportements individuels et collectifs sont de toute première importance dans la lutte contre les épidémies ou les pandémies.

Cette discipline vise donc à maîtriser les facteurs environnementaux pouvant contribuer à une altération de la santé, comme la pollution par exemple, avec des problèmes paradoxaux à gérer : par exemple, l'amélioration des conditions d'hygiène semble avoir paradoxalement pu favoriser la réapparition de maladies comme la poliomyélite et diverses maladies auto-immunes et allergies.

De nombreux facteurs de risque sont intrinsèquement liés au mode de vie. Les soins corporels, l'activité physique, l'alimentation, le travail, les problèmes de toxicomanies, notamment, ont un impact global sur la santé des individus. Nutrition : Aliments - Oligo-élément - Alicament Produits d'hygiène : Crème solaire - Dentifrice - Préservatif - Savon Toxicomanies & dépendances : Alcool - Cannabis - Cocaïne - Tabac - Jeu pathologique